Terre de Liens
Terre de Liens est né en 2003 de la convergence de plusieurs mouvements liant l’éducation populaire, l’agriculture biologique et biodynamique, la finance éthique, l’économie solidaire et le développement rural.
Pour permettre à des citoyens et des paysans de se mobiliser et d’agir sur le terrain, le mouvement a inventé de nouveaux outils de travail capables d’enrayer la disparition des terres et de faciliter l’accès au foncier agricole pour de nouvelles installations paysannes. Ces outils sont à la portée de tous, de sorte que chacun puisse s’impliquer de façon effective dans l’avenir de nos fermes et de notre agriculture.
À Koutagou, à Liré, la terre n'a pas de prix
Réalisé par Gérard Moreau France, Bénin 2015 52 minutes
"Il était une fois un roi puissant et sage… Ses capitaines lui demandaient d'abolir une loi ancestrale qui interdisait de vendre la terre."
Ce conte documentaire montre comment d'anciennes coutumes africaines et des pratiques récentes en France convergent pour arracher la terre aux lois implacables du marché.
RéCiDev
Collectif d’associations de solidarité internationale, RéCiDev informe, éduque et mobilise les citoyens bourguignon-francs-comtois pour plus de solidarité, ici et là-bas. Le collectif est tout à la fois centre de ressources, formateur, animateur, coordinateur de la campagne ALIMENTERRE en région, relai du Festival des Solidarités sur Besançon, organisateur du Marché solidaire de Noël de Besançon et accompagnateur des porteurs de projets de solidarité internationale.
Vivre dignement de sa terre
Réalisé par Karfa Diallo et Christophe leroy France Sénégal 2015 37 minutes
Autour de la naissance d’une filière saine et durable au Sénégal, ce film nous fait rencontrer, entendre et vivre avec des productrices et producteurs engagés. Nous partageons leur parcours et leur expérience, ces productrices et producteurs nous donnent à voir l’intérêt de techniques agroécologiques pour répondre aux difficultés qui touchent aujourd’hui l’agriculture familiale au Sénégal. Vivre dignement de sa terre redevient possible....
Association « A la rencontre de Germaine Tillion »
Centre Pierre Mendès-France
3, rue Beauregard
25000 Besançon
germainetillion_rencontre@orange.fr
Ce qui rend exceptionnel le personnage de Germaine Tillion est la manière dont elle a su réunir travaux de connaissance et actions. Ethnologue dans l'Est algérien dans les années trente, elle cherche à comprendre mais aussi à aider ceux qui l'entourent. Rentrée en France au moment de la débâcle, elle s'engage dans la résistance ; s'ensuivent arrestation, prison, camp de concentration (Ravensbrück d’où sa mère, internée avec elle, ne reviendra pas) où elle cherchera encore à s'informer et à soulager la détresse de ses camarades. Au retour des camps, elle devient historienne de la déportation et de la résistance. En 1954 éclate la guerre d'Algérie : elle luttera contre la misère, la torture et les exécutions pour “arrêter le terrorisme”. Plus tard elle étudiera l'asservissement des femmes...
Traversant les heures les plus sombres du siècle, elle n'aura jamais perdu la compassion pour ses semblables, ni son hospitalité, ni son humour légendaire.
Retour en Algérie
Réalisé par Emmanuel Audrain France 2014 52 minutes
Ils ont eu 20 ans, entre 1954 et 1962. Comme deux millions de jeunes Français, leur Service militaire ce fut la Guerre d’Algérie.
Cette guerre – dont ils n’ont pu parler - a dévasté leurs jeunesses. Aujourd’hui, au moment de toucher leurs « retraites du combattant », ils disent : « Cet argent, nous ne pouvons pas le garder, pour nous-mêmes. » Alors, ils le collectent et le redistribuent à des associations, en Algérie. Avec ces projets solidaires, leurs cœurs ont rajeuni. Eux, qui s’étaient tus si longtemps, parlent enfin, rencontrent des jeunes… Et retournent en Algérie.
Bande annonce
ABESCI (Côte d'Ivoire)
L'Association des Etudiants et Stagiaires de Côte d'Ivoire résidents en Bourgogne Franche-Comté est une association apolitique qui vise à promouvoir, dans un cadre amical et fraternel, des relations d’entraides et de coopération entre ses membres et sympathisants, autour des valeurs culturelles. L'association a une fonction de porte-voix de la communauté estudiantine ivoirienne auprès des autorités académiques et politiques, tant françaises qu’ivoiriennes.
Anthologie du Zouglou
Réalisé par Fidèle Goulyzia – Cote d’ivoire 2015 52 mn
Né dans les milieux universitaires ivoiriens, le Zouglou en tant que rythme musical s'affirme comme une identité culturelle et le ciment de l'unité nationale à consolider.
L'Association des étudiants ivoiriens de Bourgogne Franche-Comté se propose d'animer un panel autour de la projection du documentaire de Fidèle Goulyzia en sa présence. La projection du documentaire et le panel seront ponctués d'animations reconstituant l'ambiance "des terrasses ivoiriennes", de dégustations et de rafraîchissement typiquement du pays.
AMADEA, Enfance et développement à Madagascar
Depuis plus de 30 ans, AMADEA agit à MADAGASCAR, dans le développement rural et l’aide à l’enfance. Le développement rural intègre tous les aspects de la vie (agriculture diversifiée, soutien à la scolarisation, formation professionnelle, éducation à la santé, respect de l’environnement, entreprenariat coopératif…) et concerne plus de 1500 familles sur une zone des hauts plateaux. L’aide à l’enfance s’appuie sur un centre de renutrition et 2 établissements d’accueil d’enfants et d’adolescents en grande précarité. Les actions suscitées par les Malgaches sont décidées par un comité national fédérant 5 comités régionaux, et sont mises en œuvre par une équipe malgache sur place (deux chargés de mission et une équipe de plusieurs dizaines de techniciens). Le Comité Régional franc comtois (06 52 93 25 91) accueille toutes les bonnes volontés !
Pour plus de renseignements www. amadea.org
Monique GRY-MONNOT
Présidente AMADEA comité FC
10 rue des Frères Mercier
25000 BESANÇON (FRANCE)
SONGS FOR MADAGASCAR
Réalisé par De Cesar Paes 2017 1h28 documentaire
Les musiciens du groupe Madagascar All Stars, les six plus grands noms de la musique malgache, tous habitués aux scènes internationales, s'unissent et créent ensemble “un son” pour Madagascar. Ils se mobilisent pour défendre les ressources naturelles de leur île natale.
Filmé à une caméra et sans commentaire, le film les accompagne dans l’intimité de la création, au plus proche de la musique en train de se faire.
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ACCMMA
(Association Comtoise pour la Connaissance du Maghreb et du Monde Arabe)
L’ ACCMMA a été fondée en 1990. Elle “a pour but de faire connaître la culture arabo-musulmane (tout particulièrement maghrébine) par la diffusion de documents à caractère culturel, par l’organisation de conférences et d’expositions et par la réalisation et la participation à des voyages d’études dans les pays concernés” ( article 2 des statuts ). Ellea réalisé des visites à l’IMA, des voyages (Algérie, Jordanie, Libye, Oman, Palestine-Israël, en 2016 Algérie); des cycles de conférences et films : 2011 “La question religieuse au Proche-Orient de l’Antiquité au XXIe s.”, 2012-2013 Les 50 ans de l’indépendance algérienne, les processus révolutionnaires dans le Monde Arabe (avec Université Ouverte); participé au Festival “Lumières d’Afrique”; réalisé avec les Francas et la ville de Besançon l’exposition “L’eau, soif d’échanges”; 2014, avec AJMF, projection d’“El Gusto” de S. Bousbia; travail sur “Histoire et mémoires de la guerre d’Algérie” avec le lycée Pergaud de Besançon (conférences, colloque, spectacle-témoignage); 2015 avec Université de Franche-Comté, conférence de Habib Kazdaghli doyen de Faculté à Tunis. Avec Palestine-Amitié, expositions, documentaire et conférence pour SSI. ACCMMA participe à Journées et Marches du Mouvement de la Paix de Besançon, ainsi qu’au Collectif Palestine de Besançon.
Islam pour mémoire
Réalisé par Bénédicte pagnot – France 2016 1h42 Documentaire
D’Ispahan à Sidi Bouzid, en passant par Jérusalem, Cordoue, Dubaï… le film invite à un voyage en Islam. Islam avec un I majuscule, comme celui qu’Abdelwahab Meddeb a eu à cœur de faire connaître. La réalisatrice prolonge la voie tracée par le poète et intellectuel franco-tunisien aujourd’hui disparu pour qui « une des façons de lutter contre l’intégrisme est de reconnaître à l’Islam sa complexité et ses apports à l’universalité ». Une navigation entre passé et présent, histoire et politique, musique et poésie.