Michel Bétourné - Vie quotidienne au village dogon (Mali)
Toute sa carrière en lien avec l'agriculture comme conseiller agricole en Picardie, enseignant d'agriculture en lycée au Maroc et en France, gérant de ferme d'application au Maroc.
Amateur de randonnées en France et à l'étranger, de préférence en routard, sac au dos et transports en commun, appareil photo à la main.
En février 2011, le comité de jumelage Maîche Kressbronn Ondougou m'a permis de partager la vie de la population du village dogon d'Ondougou.
Présentation des photos
Au pays dogon comme ailleurs, les enfants apprennent à l'école et jouent, les femmes font la cuisine et s'affairent aux tâches ménagères, les hommes soignent les animaux et pratiquent l'artisanat.
Mais les conditions d'existence sont précaires , contraintes par un sol gréseux ou sableux, peu cultivable (moins de 10 % de la surface), par des pluies (400-500 mm/an ) insuffisantes et violentes sur 2-3 mois, par la chaleur, par un tourisme, attiré par l'accueil, l'architecture et la culture dogons mais quasi absent ces derniers temps par crainte de l'insécurité pourtant bien éloignée du plateau dogon.
Au pays dogon plus qu'ailleurs, les femmes, les enfants passent beaucoup de temps à marcher pour rapporter le bois, l'eau, et pour arroser leurs champs. Tous manifestent leur joie et fêtent l'arrivée de visiteurs.
Amateur de randonnées en France et à l'étranger, de préférence en routard, sac au dos et transports en commun, appareil photo à la main.
En février 2011, le comité de jumelage Maîche Kressbronn Ondougou m'a permis de partager la vie de la population du village dogon d'Ondougou.
Présentation des photos
Au pays dogon comme ailleurs, les enfants apprennent à l'école et jouent, les femmes font la cuisine et s'affairent aux tâches ménagères, les hommes soignent les animaux et pratiquent l'artisanat.
Mais les conditions d'existence sont précaires , contraintes par un sol gréseux ou sableux, peu cultivable (moins de 10 % de la surface), par des pluies (400-500 mm/an ) insuffisantes et violentes sur 2-3 mois, par la chaleur, par un tourisme, attiré par l'accueil, l'architecture et la culture dogons mais quasi absent ces derniers temps par crainte de l'insécurité pourtant bien éloignée du plateau dogon.
Au pays dogon plus qu'ailleurs, les femmes, les enfants passent beaucoup de temps à marcher pour rapporter le bois, l'eau, et pour arroser leurs champs. Tous manifestent leur joie et fêtent l'arrivée de visiteurs.